ça aussi passera : l’impermanence

La vie, et la création à son image, a ses saisons. Les rires et les pleurs font partis de notre humanité, de ses reliefs, concourant à nous faire instant après instant, plus ou moins avec la conscience, savourer nos instants précieux. Et que nous sommes des invités sur ce monde.

Que tout arrive et repart selon une multitude de paramètres qui échappe à notre condition humaine. Nous pouvons générer une réalité plus satisfaisante, interagir et créer avec notre source une création de concert qui nous comble, une possibilité de refléter davantage ce qui nous ressemble. Cela dit, tout à son moment d’expression.

Là où réside notre plein pouvoir est de nous préparer. émotionnellement, psychologiquement, spirituellement. De choisir notre réaction, puis nos actions.

Nous sommes comme un jardin dont nous retournons la terre, enlever les cailloux, les dites mauvaises herbes, semons graines, veillons à leur déploiement avec attention, puis récoltons. « Ce qui est en haut est ce qui en bas ». Le microcosme est à l’image du macrocosme. Nous sommes un système global, des milliards de cellules qui travaillent ensemble avec toujours davantage de cohérence et d’harmonie si tant est qu’on laisser le court naturel de son oeuvre. En prenant soin de notre équilibre, en suivant la voie du juste milieu.

Dans cette conscience, lors des moments difficiles de notre existence, nous pouvons vivre pleinement nos émotions, mais pouvons, avec ces clés, en transformant notre vision, en trouvant en nous d’autres ressources, nous relever avec bien plus de force créatrices, sans nous détruire au passage. Ni abîmer notre entourage, car à ce niveau aussi, nous formons un système. Libre à nous de choisir l’harmonie.

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